Petit lexique du base jump

Sans titre.001Voici un petit lexique que j’ai écris pour aider les non-baseux à comprendre les discussions de leurs congénères évolués. Ce n’est qu’un début, je le complèterai au fur et à mesure.
N’hésitez pas à proposer d’autres définitions dans les commentaires.

180 : C’est lorsque la voile s’ouvre à 180° à l’ouverture, orientant ainsi le baseux dans la direction de l’objet qu’il saute. Le 180 a des conséquences très douloureuses, voir mortelles lorsque le base jumper n’a pas le temps d’éviter l’objet vers lequel il est désormais dirigé. Personne n’a envie d’avoir un 180, mais tout le monde en est victime un jour ou l’autre. Comme dirait Johnny Utah : «The 180 will come» et il vaut mieux se préparer à agir vite pour minimiser les dégâts le jour ou la situation se présentera.

3, 2, 1 BASE : Décompte généralement donné par le baseux avant de pousser vers le vide. Le mot «BASE» est parfois remplacé par un autre mot rigolo tel que «Youpi», «Cui-Cui», «Mongolien» ou encore «Levrette».

A

Aerials : «Accro» en français, on parle d’aerials lorsque le base-jumper fait une figure en sautant, tel que le backflip, frontflip, gainer, barrel ou le tout mélangé. Lorsqu’un débutant fait ce genre de figure, on parle de «cassage de gueule» puisqu’il faut que l’acrobatie soit volontaire pour mériter l’appellation d’aerial.

AG : Assemblée Générale de l’Association de Paralpinisme. Cet évènement annuel se tient généralement au Jorjane et a pour but de réunir les baseux français pour discuter de l’avenir du sport et aiguiller les débutants qui cherchent à découvrir le BASE Jump. L’AG est le lieu de toutes les engueulades et règlements de comptes, mais une fois la nuit tombée, la bière réconcilie et les sauts du lendemain scellent de nouvelles amitiés.

Arbrissage : Atterrissage dans un arbre. L’abrissage est souvent comique pour les personnes y assistant de l’extérieur, mais le baseux qui arbrit apprécie généralement peu l’aventure : l’arbre étant généralement plus solide que le corps humain, l’expérience est désagréable, et les branches ont une fâcheuse tendance à trouer les voiles, pour le plus grand bonheur des revendeurs de Ripstop.

Association de Paralpinisme : Association française qui gère les relations avec les autorités, entretient une base de données permettant de réunir moult connaissances, et nous permet (entre autres) d’avoir une des assurances les plus avantageuses du monde pour la pratique du saut de falaise (cocorico !).

B

Base Jump : Sport débile qui consiste à sauter d’un point fixe appelé «objet» muni d’un parachute. Le mot BASE est l’anagramme anglo-saxon des quatre types d’objets sautés  par les base jumpers : Building, Antenna, Span (pont), Earth. Puisque la chasse aux anglicismes est à la mode, nous devrions plutôt parler de PIAF Jump (Pont, Immeuble, Antenne, Falaise).

B.A.S.E Number : Numéro attribué par ordre chronologique aux baseux ayant sauté les 4 objets de l’anagramme qui forme le mot base. Pour certains ce numéro n’est qu’une forme de vantardise inutile, pour d’autres il lie chaque base jumper à l’histoire du sport. L’auteur de ce lexique aurait pu être BASE #1664 s’il avait attendu 12 numéros de plus, et il s’en mord les doigts chaque jour.

Bière : Médicament non remboursé par la Sécu, mais néanmoins essentiel pour la récupération musculaire après une journée de sauts. Selon un certain Julien C. «La bière, ça aide à survivre aux impacts», mais l’exactitude de cette théorie n’a pour l’instant pas pu être scientifiquement démontrée.

Blue Sky, Black Death : Expression utilisée pour montrer le paradoxe de cette activité qui offre des moments merveilleux (blue sky) mais qui cache un côté sombre (black death).  On la retrouve souvent sous la forme de l’anagramme «BSBD» qui remplace le «RIP» lors du décès d’un autre base jumper.

Parfois, «Black Death» est utilisé pour désigner une situation dangereuse : «Il a totalement foiré son exit, il s’est retrouvé tête en bas, la gueule dans les dalles tout le long du saut… c’était black death !».

Boîte : La boîte n’est pas uniquement la dernière demeure du base jumper. On parle de «prendre une boîte» lorsque le baseux rate son exit et se retrouve dans une position délicate, voir foireuse (sur le dos, tête en bas, etc). Si le baseux ne récupère pas sa boîte, il a de fortes chances d’y finir.

But (se prendre un…) : Rester bloqué sur un exit à cause des conditions météo. La personne qui se prend un but aurait mieux fait de rester au bar.

E

Erich Beaud : Papa du base jump en France, c’est lui qui a apporté l’activité en terre tricolore en réalisant le premier base Hexagonal depuis «le Marteau». Plutôt modeste, le bonhomme nie avoir toute autorité dans le monde du base, mais il faut avouer qu’au sein de cette communauté de grandes gueules, il est souvent le seul à obtenir le silence sans avoir besoin d’élever la voix.

Exit : Endroit d’où l’on saute, l’exit se trouve au sommet de l’objet. C’est la piste de décollage du baseux.

Extracteur : Communément appelé «poignée» par le néophyte ou «courroie» dans la version québécoise de Point Break, l’extracteur est une sorte de petit parachute relié à la voile du parachutiste. Rangé dans une pochette à l’arrière du harnais, il est jeté dans le flux d’air par le parachutiste. Son gonflement provoque une traction sur la drisse, permettant ainsi l’ouverture du sac et l’extraction de la voile.

F

Fatality List : Liste recensant toutes les personnes décédées suite à un accident de base jump. La lecture, déprimante mais nécessaire, de cette liste permet à chacun d’apprendre des erreurs des autres et rappelle que personne n’est invincible. Merci de ne pas y ajouter votre nom.

Finesse (aérodynamique) : Rapport entre la distance horizontale parcourue et la distance verticale parcourue.

Ex : Si un wingsuiter a une finesse de 3, cela signifie qu’il avance de 30 mètres à chaque fois qu’il perd 10 mètres de hauteur.

La méthode à utiliser pour connaître la véritable finesse d’un base jumper est similaire à celle utilisée pour connaître la taille de sa bite : il faut prendre la finesse qu’il déclare et la diviser par deux.

Finesse (humour) : Prout !

French Base Association : Communément appelé «FBA», ce forum très fréquenté par les baseux français est souvent confondu avec l’Association de Paralpinisme, au grand dam des membres de cette dernière. On y trouve de nombreuses informations et discussions techniques, mais aussi beaucoup de débutants souhaitant démarrer le base jump via internet.

Le débutant y poste souvent une première présentation remplie d’un entrain que les anciens du forum se plaisent à détruire à tour de posts. La lapidation publique est ensuite interrompue par l’administrateur du forum, qui décide ou non d’achever le débutant agonisant par un signe de pouce impérial ! Yiiiiiiihaaaaa !

G

Gainer (mot anglais, prononcer «Gay Neure»): Acrobatie consistant à sauter vers l’avant en envoyant le corps vers l’arrière afin d’effectuer un tour complet. C’est l’aerial le plus courant.

Glisseur : Pièce de tissu rectangulaire qui glisse de haut en bas le long des suspentes afin de temporiser l’ouverture de la voile. Lors des sauts où l’on atteint la vitesse terminale, on met le glisseur en haut afin d’éviter la désintégration du baseux à l’ouverture du parachute, tandis que lors des sauts bas avec peu de délai, on le laisse en bas des suspentes afin d’obtenir une ouverture franche et immédiate.

C’est pour cela que l’on parle de sauts «glisseur haut» ou «glisseur bas».

H

Horner Pub : Haut lieu du village de Lauterbrunnen squatté par tous les baseux de passage, ce pub fait office de salle de débriefing video, de restaurant, de boite de nuit, de centre de rééducation, de cybercafé et accessoirement de bar. Tout individu montant à l’étage du Horner après 23h en ressort 4h plus tard saoul comme une vache et dépouillé des pièces de monnaie qu’il a inséré machinalement dans le vieux juke-box qui diffuse allègrement les meilleurs tubes de Pendulum, des Backstreet Boys et de Britney Spears.

J

Jorjane : Restaurant/Auberge des Gorges de la Bourne, le Jorjane est un repaire de baseux et de motards. Il accueille par ailleurs chaque année l’AG de l’Association de Paralpinisme.

Le patron, George, fait office d’intermédiaire entre les baseux et les habitants de la région, apaisant ainsi les esprits lorsque le climat est tendu. Toute personne goutant les ravioles du Jorjane est automatiquement expédiée au 7ème ciel, et c’est pas des conneries !

L

Lauterbrunnen : Petit village suisse pittoresque situé dans une vallée encadrée par deux falaises. Lauterbrunnen est le Disneyland du base jump puisque le décor est joli et les sauts faciles d’accès. Des baseux du monde entier s’y retrouvent chaque été, on estime qu’il s’y fait 15 000 sauts de base par an.

Lineover : C’est lorsqu’une suspente passe par dessus la voile à l’ouverture, la cisaillant ainsi en deux de telle sorte qu’elle prend la forme d’un joli papillon qui tourne sur lui même jusqu’à impacter le sol à une vitesse qui laisse peu de chance de survie au bonhomme qui regrette pendant toute la descente d’avoir bâclé son pliage et de ne pas avoir investi 100€ dans des commandes libérables.

Lisse : Fait de tracker avec des vêtements normaux (jean, short, string) sans utiliser d’accessoires tels que le trackpantz ou la wingsuit.

M

Marsupilami : Animal imaginaire affectionné par l’auteur de ce lexique, le marsupilami n’a aucun rapport avec le base, mais c’est mon lexique alors j’y met ce que je veux et si vous zêtes pas contents c’est pareil !

Marche arrière (faire) : Acte intelligent qui consiste à renoncer à un saut lorsqu’on ne le sent pas, quelles qu’en soient les raisons. La marche arrière fait mal à l’égo, mais elle a sauvé plus de gens qu’elle n’en a tué.

Mentor : Base jumper expérimenté qui accompagne un padawan sur ses débuts dans l’activité après l’avoir exploité pendant des mois en lui faisant faire des navettes. Le rôle de mentor nécessite une grande expérience en base et entraine beaucoup de responsabilités.

Meuf : Compagne du base jumper, la meuf est heureuse de sortir avec un mec original, puis elle devient insupportable à partir du moment ou elle réalise que le temps et l’argent de son compagnon sont entièrement investis dans la passion de ce dernier. Véritable entrave à la liberté, la meuf est chiante, coûteuse et chronophage. Il est conseillé de s’en débarrasser afin de profiter pleinement des joies qu’offre l’activité.

N

Navette : Corvée du débutant désirant se faire bien voir, la navette consiste à monter les base jumpers en voiture jusqu’en haut de la montagne puis à redescendre le véhicule sans le cartonner dans un des virages qui mène jusqu’au bar du coin.

O

Objet : Point fixe sautable, l’objet peut être un pont, une antenne, une falaise, un immeuble, mais aussi une éolienne, un câble de téléphérique, une cheminée d’usine… Comme dirait Carl Boenish : «The whole world is jumpable».

Orientation : Angle prit par la voile à l’ouverture, avec des conséquences plus ou moins embêtantes selon l’importance de cet angle.

Ex : si une voile s’oriente à la perpendiculaire de l’axe d’ouverture, on parle d’une orientation à 90°. «Il a eu une orient’ à l’ouverture, du coup il a tapé l’antenne».

Ouverture (de parachute) : Évènement rassurant lors d’un saut de base.

Ouverture (de spot) : On parle d’ouverture lorsqu’un objet est sauté pour la première fois. L’ouvreur écope de la lourde responsabilité de donner un nom au spot et d’en décrire les caractéristiques afin qu’il soit ajouté au Topo. Souvent, le nom du spot est en rapport avec une anecdote concernant l’ouverture ou l’ouvreur. Peut être qu’un jour vous connaitrez l’origine des appellations marrantes telles que Couillu le Caribou ou encore Essemi.

P

Parachute : Le parachute est composé d’une voile rangée dans un harnais auquel le base jumper est accroché. Il existe quelques exemples de personnes ayant survécu à une chute sans utiliser cet accessoire, mais les statistiques sont formelles : l’utilisation d’un parachute augmente considérablement les chances de survie lors de sauts dépassant les 50 mètres.

Paralpinisme : Base jump amputé de sa pratique urbaine, le paralpinisme est l’association du parachutisme et de l’alpinisme. Certains baseux préfèrent se définir comme paralpinistes car ils ne se reconnaissent pas dans la pratique du saut urbain.

PCA : On parle de saut en «Pilot Chute Assist» lorsqu’une personne située sur l’exit déclenche l’ouverture du parachute en tenant en main l’extracteur de la personne qui saute. Souvent utilisée pour le premier saut des padawans, cette méthode permet au sautant de se concentrer sur sa position de saut sans être dérangé par la gestion de l’ouverture. Par ailleurs, le déploiement quasi immédiat de la voile ne laisse pas le temps aux éventuels problèmes (position, orientation) de prendre des proportions dramatiques.

Piège : Parachute

Proximity Flying : Vol de proximité, consiste à voler au plus près du relief.

R

Rangé : Contrairement au départ «à la main», le saut rangé se fait avec l’extracteur plié dans la pochette située à l’arrière du harnais. Le débutant est souvent terrorisé à l’idée de ne pas trouver sa poignée lors d’un départ rangé, mais comme dirait Erich Beaud : «N’importe qui est capable de trouver son cul… la poignée se situe juste au dessus !»

Rockdrop : Temps de chute vertical disponible avant d’atteindre le premier point impact à partir d’un exit. On peut le calculer en temps ou en hauteur. Il tire son nom du fait qu’on le mesure en lançant un caillou afin d’estimer le premier point d’impact.

Le rockdrop est mesuré verticalement et ne prend pas en compte le phénomène de dérive.

Ex : Sur une falaise de 1000 mètres, si un caillou lâché tape un obstacle après 6 secondes de chute, on dit que le rockdrop est d’environ 6 secondes, ou de 155 mètres. Toute personne faisant un saut sans tracker devra ouvrir avant cette hauteur sous peine de salir une falaise qui n’a rien demandé. Cependant, une personne capable de commencer à dériver avant 155 mètres pourra continuer son vol après ce point d’impact.

Rollover : Consiste à laisser pendre sa voile ouverte dans le vide depuis l’exit avant d’envoyer un front flip par dessus. Prisé par les flemmards qui n’ont pas envie de replier leur voile, ce type de saut a le mérite de faciliter le travail des ambulanciers en cas d’accident, puisque le baseux est directement emballé par la voile dans laquelle il est tombé.

S

Slidergate : Tailgate cousue sur le glisseur afin de diminuer le risque de lineover lors d’un pliage glisseur haut. Le slidergate n’est pas encore utilisé par tous, mais Riquier travaille dur afin de convertir les derniers récalcitrants.

Smokepantz : Trackpantz fait maison, le smokepantz tire son nom des entrées d’air faites à la cigarette dans des pantalons larges à une époque ou les trackpantz n’étaient pas développés par des équipementiers reconnus.

Stashbag : Sac informe dans lequel le base jumper entasse son matériel avant et après le saut. Le contenu du stashbag change en fonction de la nationalité du baseux : il contient un parachute, un trackpantz et une paire de protèges tibias chez les américains. Le français, lui, néglige l’utilisation des protèges tibias et préfère laisser de la place pour emmener un bon saucisson aux noisettes et une tome de Savoie.

Static line : La static line est un système reliant le parachute à l’objet sauté, permettant ainsi une ouverture automatique. La static line est le PCA du solitaire.

Strato (ouvrir) : Tirer trop haut, à une hauteur stratosphérique. Contrairement aux idées reçues, tirer haut en base n’est pas gage de sécurité (tirer trop bas non plus… mais n’ouvrons pas le débat : c’est un lexique, pas un cours théorique).

T

Tailgate : Petit bout de cordelette passé autour de certaines suspentes afin d’éviter le risque de lineover lors de sauts glisseur bas. Les américains utilisent parfois un bout de scotch et certains baseux se sont aventurés à tresser des tailgates avec des brins d’herbe qu’ils auraient mieux fait de fumer.

TARD : Saut avec la voile tenue à la main. Inutile mais rigolo !

Topo : Document édité par l’Association de Paralpinisme mettant à disposition toutes les informations concernant les falaises sautables.

Tracker : Avancer en utilisant la position de son corps. La track peut se faire en lisse ou en trackpantz.

Trackpantz : Vêtement pressurisée permettant au baseux d’augmenter sa surface sur l’air et ainsi d’améliorer sa finesse. Contrairement à la wingsuit, le trackpantz a la forme du corps humain et permet d’être totalement libre de ses mouvements.

Un philosophe célèbre a déclaré «Je pantz donc je suis», mais une faute de frappe aurait faussé sa phrase et induit en erreur plusieurs générations d’étudiants.

Twists : Souvenez vous ! Vous aviez 4 ans et pensiez avoir totalement exploité le potentiel de la balançoire du jardin d’enfants où votre nounou vous emmenait le mercredi après midi, lorsque soudain, vous avez décidé d’innover en faisant tourner le siège sur lui même jusqu’à ce que les deux chaines attachées de part et d’autre soient totalement torsadées. Ensuite, vous vous laissiez tourner jusqu’à en avoir a gerbe et profitiez pendant 10 secondes de l’euphorie apportée par la sensation de tournis… Bah les twists c’est pareil, sauf que ça se passe sous un parachute, à 100 mètres de haut et qu’en fait ça ne fait rire personne !

V

Vase Jump : Discipline marginale inventée par Pierre B. au Bournillon puis améliorée par un jeune baseux lors d’un saut de pont qui fit la Une des médias en avril 2013.

W

Wingsuit («Ah tu fais du base jump ? Le truc avec les ailes ! Mais du coup tu fais comment pour atterrir ?»): Appelée «flyingsuit» ou «tenue d’écureuil volant» par le néophyte mal informé, la wingsuit est une combinaison à ailes pressurisée qui permet d’allonger la durée de vol et d’atteindre une finesse de 3. L’utilisation d’une wingsuit ne permet en aucun cas d’atterrir sans utiliser de parachute (sauf dans le cas de Reiner et de Gary, mais c’est une autre histoire).

L’apparition de la wingsuit dans les médias incite à croire qu’il faut enfiler un tapis volant pour être un vrai baseux, mais cette pratique n’est qu’une des multiples disciplines du base jump.

A propos davidlaffargue

Jeune idiot adepte de BASE jump, de parachutisme et de barbecues au soleil
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14 commentaires pour Petit lexique du base jump

  1. gael dit :

    juste un mot !!!!! c est génial ,ma femme m encourage a me mettre en coloc avec toi

  2. gael dit :

    impacté ou cratérisé ?

  3. vince dit :

    excellent!
    j’ai trouvé ce que je suis venu chercher et j’en ai profité pour tout lire…
    très bien expliqué et avec la touche d’humour en plus!
    merci à toi 😉

  4. Midge dit :

    Je ne pratique pas le base-jump, je ne suis pas tenté par ce sport de fifous. Mais noudidiou, je me suis marré comme une baleine (et appris pleins de trucs chouette sur cette pratique) !
    Bravo pour le lexique, et tout l’humour que y a dedans 🙂

  5. Richou dit :

    Lecture bien plus agréable que mon cours de géopolitique, merci j’ai beaucoup ris !

  6. ratus dit :

    sympa le vase jump ^^ petit clin d’oeil a kepon ! pure lexique, bien drôle 🙂 plein de truc d’appris c’est cool!

  7. zoo dit :

     » Erich Beaud : Papa du base jump en France, c’est lui qui a apporté l’activité en terre tricolore en réalisant le premier base Hexagonal depuis «le Marteau». Plutôt modeste, le bonhomme nie avoir toute autorité dans le monde du base, mais il faut avouer qu’au sein de cette communauté de grandes gueules, il est souvent le seul à obtenir le silence sans avoir besoin d’élever la voix.  »

    Il faut que tu revois tes infos ! ! !

  8. zoo dit :

    Erich Beaud : Papa du base jump en France, c’est lui qui a apporté l’activité en terre tricolore en réalisant le premier base Hexagonal depuis «le Marteau». Plutôt modeste, le bonhomme nie avoir toute autorité dans le monde du base, mais il faut avouer qu’au sein de cette communauté de grandes gueules, il est souvent le seul à obtenir le silence sans avoir besoin d’élever la voix.

    Il faut que tu revois tes infos !

  9. zoo dit :

    « Erich Beaud : Papa du base jump en France, c’est lui qui a apporté l’activité en terre tricolore en réalisant le premier base Hexagonal depuis «le Marteau». Plutôt modeste, le bonhomme nie avoir toute autorité dans le monde du base, mais il faut avouer qu’au sein de cette communauté de grandes gueules, il est souvent le seul à obtenir le silence sans avoir besoin d’élever la voix. »

    Il faudrait que ti revois tes infos ! ! !

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